Compromission en 2017 ?

Lors du second tour des élections présidentielles de 2017, Nicolas Dupont-Aignan a « brisé le plafond de verre » en souscrivant un accord de deuxième tour avec Marine Le Pen. Cette prise de position a représenté un petit tremblement de terre politique et a provoqué le départ d’un certain nombre de cadres, des accusation de « extrême droite » et la désaffection d’une partie de son électorat. Pourtant, une fois de plus il avait raison avant tout le monde.

En effet, il avait bien compris que Emmanuel Macron (l’ »extrême centre ») représentait un danger bien plus grave que son opposante. Les faits lui ont donné raison. Depuis 2017 nous avons assisté à :

  • une situation économique qui n’a cessé d’empirer ;
  • une dégradation du climat social et moral, avec l’emprise woke de plus en plus étouffante sur la société ;
  • des privations de liberté dignes d’une dictature (rappelez-vous ce qu’on a dû subir pendant la crise « sanitaire »….) ;
  • l’instauration d’une pensée unique qui domine tous les médias et une véritable censure de tous ceux qui ne pensent pas comme le pouvoir en place (arnaque climatique, guerre en Ukraine, politique étrangère….) ;
  • la perte de l’influence géostratégique qui caractérisait la France, notamment en Afrique, abandonnée aux mains de la Chine et de la Russie ;
  • une soumission totale aux intérêts américains et aux prises de position mondialistes et bellicistes de la Commission Européenne.

Plaçant encore une fois l’intérêt de la France devant son intérêt personnel, il a choisi, entre les deux tours, le moindre des maux. Aujourd’hui, de plus en plus nombreux sont ceux qui font le même choix. Sans hélas reconnaître qu’il a eu raison le premier.

Quant aux accusations d’ »extrême droite », rappelons que le juge des référés du Conseil d’État a tranché dès 2019 stipulant qu’un tel classement « ne s’appuyait pas sur des indices objectifs« .

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