La seule chose extrême à Debout la France est le bon sens ! Mais le bon sens est aujourd’hui considéré comme extrémiste. Quelques exemples d’affirmations de bon sens qui nous valent aujourd’hui d’être traités d’extrémistes ?
- Le CO2 n’est pas un poison mais le gaz utilisé par les plantes dans la photosynthèse.
- Seules les femmes peuvent tomber enceintes.
- Donner des hormones bloqueurs de puberté à des jeunes en crise d’adolescence est criminel.
- Demander la fin des études cliniques avant de mettre sur le marché des vaccins ou des médicaments dont on ne connaît ni l’efficacité ni les effets à moyen et long terme.
- Demander qu’un étranger arrivé en France cotise avant qu’il puisse profiter des aides.
- Affirmer que l’immigration clandestine doit être considérée comme un délit.
- Demander que les OQTF (Obligations de Quitter le Territoire Français) soient exécutés.
- Demander que les peines prononcées soient exécutés sans remise préalable.
- Refuser que des minorités imposent leur vision, leurs habitudes, leur idéologie, tout en les protégeant contre toute forme de discrimination.
- Prétendre qu’un élève ou un étudiant ait acquis les savoirs qu’il est censé apprendre avant qu’il puisse passer au niveau supérieur.
- Affirmer que tout métier effectué avec honnêteté et rigueur a la même dignité et que c’est absurde d’imposer des longues études à des jeunes qui préféreraient une formation professionnelle.
- Prétendre un casier judiciaire vierge pour les élus.
- etc. etc.
Pourquoi refuser l’extrême gauche ?
Fut un temps, la gauche défendait les travailleurs contre des patrons qui les exploitaient. Ce qui a permis des avancées sociales fondamentales, notamment dans la première moitié du XX siècle. Upton Sinclair, à la fin de son roman – enquête « La Jungle » (« le livre le plus déprimant de l’histoire de la littérature« ) faisait l’éloge du socialisme, imaginant qu’il allait libérer l’humanité du joug auquel une large partie d’elle était soumise. HG Wells avait la même illusion.
Depuis des décennies la gauche a abandonné son ADN, ce qui explique pourquoi une large partie de son électorat classique est tombé dans le piège du FN/RN. Elle désormais ne défend plus que :
- les voyous, multirécidivistes de préférence ;
- les migrants ;
- les minorités sexuelles, y compris quand elles se font promotrices d’actions intolérables (les « lectures pour enfants » des « DragQueens », par exemples ;
- toute la racaille qui s’en prend aux institutions, en particulier les forces de l’ordre.
Pourquoi refuser l’extrême droite ?
L’étiquette « extrême droite » est aujourd’hui utilisée pour exorciser toute personne qui ne rentre pas dans le cadre des opinions autorisées. Elle a donc été quasiment vidée de son sens.
À l’origine, être d’extrême droite signifiait prôner un suprémacisme ethnique, une discrimination basée sur des critères biologiques ou culturels, un nationalisme et un identitarisme exacerbés. Souvenons-nous de ce que disait le Général de Gaulle :
Le patriotisme, c’est aimer son pays. Le nationalisme, c’est détester celui des autres.
Je suis immigré en France, avant j’ai été immigré au Japon. J’ai voyagé dans une quarantaine de pays dans cinq continents, j’ai des collègues et des amis au quatre coins du globe, d’ethnie, croyance et culture très différentes. Mon épouse est japonaise. Il est donc évident que les fondements mêmes de l’extrême droite sont incompatibles avec mon parcours et ma vision.
Pourquoi refuser l’extrême centre ?
L’extrême centre est une expression née récemment pour indiquer le courant mondialiste incarnée par la macronie. Elle représente la négation de toute vision patriote et souverainiste, minant les fondements même de la nation. Pour l’extrême centre, le monde est un marché et l’humain rien de plus qu’un moyen d’augmenter ses profits. L’extrême centre représente aujourd’hui l’un des pires dangers pour notre civilisation, en parallèle avec l’islamisme.
Face aux trois extrêmes, choisissons l’extrême bon sens !
Proposer des mesures de bon sens signifie aujourd’hui se faire insulter et se faire coller toute la panoplies des étiquettes-tabous inventées par ceux qui veulent détruire notre civilisation et nos traditions. Ces insultes ne nous touchent pas plus que des gouttes de pluie sur le pare-brise d’un véhicule lancé vers le rétablissement du bon sens.
Dans les pages du projet, je détaille mes propositions de bon sens. Ci-dessous vous pouvez retrouver quelques courts articles que j’ai eu l’occasion de publier sur des sujets d’actualité. Je vous invite à juger si les propos contenus dans ces articles ont quelque chose d »extrême, à part le bon sens.