Alors qu’aux États-Unis la folie wokiste est en train de perdre son élan, en France on nage en plein délire ! Dire qu’un homme n’est pas une femme et vice versa est désormais considéré discriminatoire et parfois passible de sanctions ! L’idéologie est sur le point de remplacer la biologie ! On assiste à une explosion de « transitions de genre » chez les adolescents, à un âge où la prise d’hormones bloqueurs de puberté va entraîner des séquelles graves sur la santé, physique et psychique, des jeunes tombés dans le piège wokiste. Le malaise de l’adolescence n’est plus abordé avec le dialogue et la psychologie, mais avec la chimie, quand ce n’est pas la chirurgie. Arrêtons ce délire avant qu’une partie d’une génération ne soit transformée en animal de laboratoire !
La propagande wokiste gangrène nos institutions et impose la loi du silence à tout ceux qui osent s’y opposer. J’ai moi-même été sanctionné pour avoir osé dénoncer, sur une liste de diffusion qui s’appelle « expression libre » (!), ces dérives (recours déposé, mais le délai d’instruction est très long : trois ans !). Car, sous couvert de « bannir les discours de haine », l’extrême gauche, toujours prête à s’arroger le rôle du « camp du bien », essaie de bannir les discours qu’elle hait.
Mesures envisagées :
- Supprimer toute subvention aux « études du genre ».
- Interdire la prescription d’hormones bloqueurs de puberté pour les mineurs.
- Interdire la propagande woke dans les écoles, les institutions publiques, et dans toute situation en présence d’enfants.
- Interdire les spectacles proposant des scènes dégradantes (déguisements en chaînes à la laisse, exhibitionnisme, nudité), en particulier en présence d’enfants et mineurs. N’oublions pas la lourde complicité de l’extrême gauche avec la pédophilie !
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