La récente pandémie Covid-19 nous a montré à quel point des considérations de nature médicale peuvent être détournées afin d’imposer des mesures de restriction des libertés totalement injustifiées, mais également la collusion entre le milieu médical et l’industrie pharmaceutique : il suffit de citer l’achat par SMS de milliards de doses de vaccin de la part de la présidente de la commission européenne, SMS auxquels nous avons toujours pas accès, malgré les dizaines de milliards d’euros que cela nous a coûté ! La suspension des soignants que l’on applaudissait aux fenêtres quelques mois auparavant a été l’épisode probablement le plus honteux de l’histoire récente de France. Pour que de telles dérives ne puissent plus jamais être mises en place, je propose les mesures suivantes :
- Requérir l’absence de conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique des médecins souhaitant intégrer l’ordre des médecins et les Agences Régionales de Santé, à travers l’établissement d’un plafond de subventions à ne pas dépasser.
- Investir massivement dans la création d’une industrie pharmaceutique d’État, pour soustraire la production de médicaments du contrôle des grandes compagnies privées.
- Renforcer le principe de consentement libre et éclairé du patient, qui ne sera plus possible de dépasser par une déclaration d’État d’urgence.
- Reconnaître les pratiques médicales alternatives qui possèdent un fondement scientifique solide (aromathérapie, phytothérapie, ostéopathie…), tout en renforçant la lutte contre la charlatanerie.
- Refuser le nouveau traité sur les pandémies de l’OMS, qui vise à transférer à cette dernière les compétences pour prendre des décisions qui affectent lourdement la vie du citoyen.
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